Alimentation

  • L’après M restaure les communs

    Dans les quartiers nord de Marseille, un fast-food solidaire donne l’exemple. Cet ancien McDonald's s’est transformé en un centre de restauration sociale et d'insertion. Né de la lutte et de la résilience d'une communauté, l’après M se concrétise entre l’économie, le social et l’environnemental. Un endroit où le citoyen reprend ses droits sur les communs.
  • Le Masss, magasin de producteurs

    En août dernier, Damien et ses collègues ont inauguré Le Masss, un magasin de producteurs situé aux confins d'Avignon. Il se pose en alternative aux circuits traditionnels. Soutenu par la Foncière Terre de liens, il privilégie la vente directe de produits locaux et bio. Il redonne aux agriculteurs le contrôle et une juste rémunération pour leur travail.
  • Attal protège le modèle, pas les agriculteurs

    Les manifestations d'agriculteurs en Europe révèlent une crise profonde, centrée sur les revenus. Mais le gouvernement et la FNSEA ont préféré s’attaquer aux normes sans voir les disparités entre agriculteurs. Un angle de vue qui met en danger l’environnement, et en premier lieu la biodiversité.
  • Gem la coop, la solidarité taillée en Épi

    Ce petit supermarché local, opérant sur le modèle de l'épicerie Monépi, se distingue par sa volonté de proposer aux Avignonnais des produits de qualité, principalement bio, à des prix abordables. Depuis 2019, cette initiative citoyenne a su tisser des liens forts avec ses adhérents et les producteurs locaux.
  • "MANGER CE QUE L'ON TUE APPARTIENT À L'ÉTHIQUE DE SOBRIÉTÉ TYPIQUE DE LA DÉCONSOMMATION"

    Industrialisation des élevages, éloignement des abattoirs hors des villes... Charles Stépanoff, anthropologue et directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), revient pour Demains en mains sur son livre « L’animal et la mort : chasses, modernité et crise du sauvage », prix France Culture - Arte 2021 et prix François Sommer 2022. Éclairant.